Ce que je compte te faire

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il y a 5 ans

De furieuses envies de BDSM

Un week-end, un week-end c'est tout ce nous avons. C'est tout ce que j'ai pour te faire décoller, t'asservir, te faire plier, supplier, jouir, pleurer peut-être de joie, de douleur, de plaisir. Réveiller la moindre fibre de soumission en toi, pour moi. Je soupire, lourde tâche, mais il est très vite remplacé par un sourire sadique, j'ai des envies.

Je me lève de mon lit et me dirige à pas de loup vers ta chambre.

Je t'observe par l’entrebâillement de la porte, tu dors paisiblement, nu bien entendu comme je te l'ai ordonné hier soir. Tu sais que je te veux à ma disposition, n'importe quand. Tu ne t'es pas trop fait prier.

Comment vais-je bien pouvoir te réveiller ? J'hésite, avec douceur, dans la douleur, les deux ? Ou bien par le sexe. Pourquoi pas les trois, les idées fusent je décide d'aller chercher les jouets dont je vais avoir besoin.

Je me glisse dans ta chambre et fait doucement glisser la couette avant de m'asseoir à califourchon sur ton dos. Tu te réveilles doucement, je caresse tes jambes pour remonter doucement sur la partie qui m'intéresse, tes fesses. La première claque achève de te réveiller, tu pousses un petit gémissement , plus de surprise que de douleur, car j'ai choisi  de commencer par la douceur. Je claque tes fesses, l'une après l'autre, de façon régulière.

C'est plus un massage rythmé qu'une correction, mais ça me va, je te veux détendu, mais avec le cul d'une teinte plus rosée. J'augmente très progressivement l'intensité, tu somnoles en gémissant. J'en profite, je t'attache les pieds sur une barre d'écartement et je fais de même avec tes mains que j'écarte bien, avant de reprendre mon œuvre sur ton cul. Plus il rougit, plus j'ai envie que ce rouge s'intensifie.

Tu commences à gigoter car cette fessée n'a plus rien d'un massage, mais je suis assise sur toi et tes mains et tes pieds sont immobilisés. Tu ne peux tout simplement rien faire. 

Un petit « s'il vous plaît » t'échappes. Je m'arrête : 

« Oui ?  

- S'il vous plaît ?

- J'avais entendu la première fois, tu veux que je continue c'est ça ? Ça t'excites quand je te claques le cul ? Non, pas la peine de répondre, la tête que tu fais est assez parlante...mais attends, je vais vérifier quand-même » 

Joignant le geste la parole, je glisse ma main sous ton bassin pour accéder à ton sexe. Tu essayes de m'en empêcher faiblement, une claque sur le haut de tes cuisses te rappelle à l'ordre et j’atteins mon objectif. J'attrape ton membre sans ménagement... « Tiens, tiens, on dirait bien que j'avais raison, un vrai petit pervers. Peut-être que je devrais te mettre sous cage, qu'en penses-tu ? 

- Non, s'il vous plaît, pas ça.

- Ah bon...Je peux continuer alors ?  dis-je sarcastique 

- Bien sûr, Madame, désolé. ». J'augmente encore l'intensité des coups, je veux t'entendre geindre et bouger pour que tu sois conscient de ton impuissance et enfin je m'arrête.

« Il te manque quelque chose, je pense. A quatre pattes ! », joignant le geste à la parole, je t'attache ton collier autour du cou et avec un grand sourire je fais se balancer la laisse devant ton nez « C'est pour qui ça ? » Joueur tu remues des fesses et me lance un petit Waf « Bon chien. »

J'attache la laisse à ton collier et te fait mettre sur le dos. Je te regarde droit dans les yeux avec un sourire carnassier en accentuant la pression sur la barre qui te maintient les poignets. De l'autre main je sors mon téléphone portable et te montre plusieurs photos que tu m'as envoyé. Tu rougis et gêné tu détournes la tête. Je t'attrapes par les cheveux pour que tu ne quittes pas l'écran des yeux.  « Alors comme ça...on aime le facesitting..? - Oui... - Petit pervers, ça t'excites d'imaginer une chatte sur ton visage, on va voir ça !  Joignant le geste à la parole, je m'installe sur ton visage, alternant déhanchement avec une touche de breath control. 

 «Et ne t'avises pas d'utiliser ta langue, je te l'interdis ! »

Tu gémis lorsque tu le peux, c'est si frustrant d'être si prêt de ce que l'on convoite sans pouvoir y toucher et j'en joue. 

 «Ne penses même pas à désobéir sinon cette partie de ton anatomie finira sous cage pour une durée très...indéterminée. »

Mes hanches ondulent sur ton visage, t'arrachant de temps à autre des gémissements étouffés, mais ça ne me suffit pas. Mes mains entre en action pour torturer ton entre-jambe, je veux que tu bandes à t'en faire exploser les couilles. Je sens ta bouche s'ouvrir, je serre plus fort ton sexe : « Je te déconseille de faire ça... Tiens ta langue ! »

Je continue jusqu'à ce que tu n'en puisses plus et me supplies de reprendre ton souffle. Je me redresse et t'attrape  par les cheveux pour te faire asseoir. Je reviens avec une paire de pinces : 

« Sors ta langue comme tu comptais le faire tout à l'heure ! » Tu obtempères. J'attache la première pince sur ta langue et serre, tu grimaces, mais je n'y prête pas attention et attache l'autre sur tes bourses ce qui t'oblige à te plier en deux car la chaîne est très courte.

Je remonte doucement ton menton pour te regarder dans les yeux avec un grand sourire sadique. Tu gémis car cela tire sur tes parties. « Je vais me changer, je te libérerai  à mon retour tâche de ne pas en mettre partout.

Oh j'oubliais...tu n'as toujours pas le droit de jouir » 

Je place un vibro entre tes jambes afin qu'il puisse te faire vibrer autant que la chaîne qui te tortures. Tu me jettes un regard suppliant que je trouve absolument adorable en me regardant partir.

Je prends tout mon temps pour choisir ma tenue, la nuisette a son charme, mais une tenue plus appropriée me semble de rigueur. J'opte  pour une catsuit noir aux manches transparentes, bien que recouvrant la quasi-totalité de mon corps elle épouse chacune de mes formes. Les escarpins sont de rigueurs, avec leur dégradés de rouge et de noir ils apportent une touche de couleur. Il ne me reste plus qu'une chose à mettre pour parfaire la tenue...

Tu m'entends entrer dans ta chambre et relève instinctivement la tête pour me regarder. Tes yeux s'écarquillent, je peux y lire ton appréhension, mais aussi ton excitation. Si j'avais un doute je n'aurais qu'à porter mon regard sur ton membre pour m'en assurer.

« Regarde ce que j'ai pour toi. » dis-je en caressant le gode à ma ceinture.

« Je l'ai pris assez épais pour que tu le sentes bien, ça te fait plaisir j'espère ? »

Tu baragouines une réponse que je ne comprends évidemment pas, je te fais répéter ce qui a pour effet de te faire baver encore plus.

« Je ne comprends toujours rien, tu devrais garder un peu de salive pour cet engin tu vas en avoir besoin... »

Joignant le geste à la parole je retire la pince de ta langue, si tes mains n'étaient pas attachées tu t'empresserais de les monter à ta bouche pour essayer de soulager la douleur...Malheureusement pour toi tu es à ma merci. A peine la pince retirée, j'attire ta tête vers mon gode ceinture et te le fourres dans la bouche. Après quelques va-et-vient au rythme de mes envies, je te libère la bouche.

« Tu disais ?

- Merci beaucoup, vous avez bien fait de prendre un gode aussi gros.

  • Ravie de voir que nous sommes d'accord et maintenant suce, après je te baiserai  la bouche et ensuite ça sera le tour de ton cul ! »

Tu t'appliques, tu lèches sensuellement le gode avant de l'avaler en entier sans me quitter du regard. Tu le pompes avec énergie, te voir à genoux devant moi m'excite  et tu le sais. Tu continues ton œuvre pendant que je me laisse aller, ma main agrippée dans tes cheveux, profitant du magnifique tableau que tu m'offres.

Pendant que tu es concentré sur ta tâche je décide que c'est le moment idéal pour retirer la pince restante. Comme prévu tu cherches à retirer ta bouche pour gémir, mais je t'en empêche et commence à te baiser la bouche sauvagement. Tu n'es plus qu'un sextoy que j'utilise et le pire c'est que tu adores ça.

Je me retire enfin, mais simplement pour t'ordonner de te mettre à quatre pattes sur le lit. Tu sais ce qui t'attend, mais provocateur tu te cambres et me jette un regard taquin, j'y réponds par un grand sourire et une bonne claque sur le cul qui imprime la trace de ma main. Tu pousses un gémissement de plaisir et remues des fesses en me regardant avec la même provocation.

Mon soumis est d'humeur joueuse dirait-on et bien voyons ça. Les claques pleuvent sur ton cul tendu, tu gémis, te tords, mais gardes toujours ton regard de défi. Une fois bien rouge vif, je décide qu'il est temps que tu plies. Je prends le fouet, je sens ton changement d'attitude, tu hésites.

« Trop tard... » dis-je avec un sourire en coin, avant de faire claquer le fouet sur chacune de tes fesses deux fois d'affilée. Tu sautilles sur place en poussant des petits Aïe, essayant d'atteindre tes fesses avec au moins une de tes mains pour te soulager. Tu halètes et te remets en position. Je viens caresser les lignes de feu que je viens de tracer sur ton petit cul.

« Là, là, c'est fini. C'était si tentant, tu sais bien que je ne résiste pas à la provocation... Bien où en étais-je déjà ? 

- Vous vouliez me baiser le cul comme vous avez baisé ma bouche Madame.

- C'est vrai, c'est vrai, mais avant... j'ai une surprise pour toi, ferme les yeux. »

J'ouvre le tube de lubrifiant et en applique une bonne couche sur ma surprise ainsi que sur ton anus. Tu es déjà tellement excité que ta rondelle s'ouvre sans problème. Je pousse lentement ma racine de gingembre dans ton cul en effectuant de petit va-et-vient.

« Tu aimes ça hein ? 

- Ou..oui Madame, j'adore ça je ne sais pas ce que...AH ! Ça brûle ! Oh... ah ! 

- C'est ce qu'on appelle avoir le feu au cul mon cher soumis et tu vas adorer ça, sans compter que ce n'est pas ma seule surprise. Tu sais on dit que le gingembre a des vertus aphrodisiaques, je vais vérifier si c'est le cas. » 

Ta queue est déjà tendue comme un arc, ma main vient la caresser ce qui te fait gémir de plaisir. J'en profites pour t'enfiler une capote...dont le bout contient de la pulpe de gingembre frais, mais tu ne le sais pas encore. J'appuis sur le bout du préservatif pour bien en enduire ton gland. L'effet est immédiat, tu te tortilles dans tous les sens et moi je reprends mon œuvre sur ton cul.

Les sensations sont nouvelles, c'est indéfinissable, ton discours n'est fait que de suppliques pour que j'arrête mêlé de gémissements de plaisir.

Une fois ton cul bien ouvert par les effets du gingembre, je veux profiter de ces effets pour les coupler à une prise plus sauvage. Je tapote mon gode sur ton cul pour bien que tu saches ce qui va arriver et je l'enfonce avec une exquise lenteur.

Je veux que tu sentes chaque centimètre te pénétrer, je veux que tu le désires tellement que tu me supplies de te prendre plus fort. Je continue ma lente torture, mes mains posées sur tes hanches. Je me délecte de chacune de tes réactions. Une fois entrée, je ressors complètement pour à nouveau te torturer avec la même lenteur.

« Pitié, s'il vous plaît, s'il vous plaît !  

  • Dis-le, dis moi ce que tu veux.

  • S'il vous plaît ! 

  • Ce n'est pas la réponse que j'attends » 

Je me retire de ton cul et pose juste le gode sur ta rondelle.

« J'attends ! Que veux-tu ? 

-Pitié, prenez moi plus fort ! Baisez moi le cul, je n'en peux plus. 

-Eh bien tu vois quand tu veux ! » J'entre en toi jusqu'à la garde, mes mains attrapent tes hanches pour mieux t'empaler. Je ne m'arrête pas, varie les rythmes, je veux te rendre fou...

Je prends simplement le temps de t'installer un mors pour mieux te pénétrer en tirant sur les rênes. De temps en temps, je ravive le feu de ta queue en faisant remonter le gingembre sur ton gland. J'avais tellement envie de te prendre comme ça... Sentir ton excitation, la mienne à te pénétrer.

Je résiste encore un peu à la jouissance, je n'en ais pas encore fini avec toi. Je me retire .

« Tu sais quoi, je veux que tout tes orifices soient remplis avant de te laisser jouir. »

J'installe le gode ventouse en face de toi et te retire le mors. Je passe affectueusement une main dans tes cheveux avant de redescendre tranquillement le long de ton dos, laissant quelques traînées rouges sur mon passage. J'en profite pour te détacher une main. 

« Bien reprenons, tu peux te branler , mais tu n'as pas le droit de jouir sans mon autorisation, c'est clair ?

  • Oui Madame, merci. »

Je reprends en douceur mon œuvre. Lentement, mais sûrement le rythme s'accélère, mes coups de butoir se font de plus en plus pressants. Ta bouche s'enfonce sur le gode sans que tu ne puisses le contrôler. Je sais que tu aimes être un jouet sexuel, tu aimes que tes orifices soient comblés, c'est trop bon...

Tu craques une première fois : 

« Pitié Madame puis-je jouir s'il vous plaît ?

- Non ! »

Je m'allonge sur toi et commence à te t o r t u r e r les tétons, je ne vais plus tenir très longtemps. Tu craques à nouveau, suppliant : 

 « Pitié, je n'en peux plus Madame! M'autorisez vous à jouir, pitié ? »

Que j'aime t'entendre supplier, je ne tiens plus : 

 « Oui tu peux jouir. »

A peine ma phrase finie, je te pilonne et accentue la pression sur tes tétons ce qui semble terriblement efficace.

Ta jouissance explose...vite suivie par la mienne...

Je me retire doucement, tu as l'air épuisé, tu ne bouges plus. Je te détache tranquillement et rabat la couverture sur toi, tu t'es endormi.

Je vais te laisser te reposer...

pour l'instant...

Fin 

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